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En Province
21 février 2019

ITC d'Oxford

Il y a quelques jours, j'ai suivi un congrès lors duquel j'ai eu l'occasion de contempler plusieurs contenus fournis par de grandes marques. Et en les observant, j'ai été effaré d'observer combien certaines marques n'ont pas saisi la base du brand content : nombre des contenus exposés ne présentaient en effet pas le moindre intérêt, et ceux-ci étaient manifestement promis à être des fiascos mémorables. On ne le rappelera sans doute jamais assez : dans une communication du contenu, la qualité est la première condition du succès. Parce que dans l'économie de l'attention, seuls les contenus de qualité ont la possibilité de s'imposer. Sur le marché souvent saturé des contenus, le but n'est pas de produire un meilleur contenu que la marque concurrente. Les contenus de marque doivent faire face à la somme des contenus disponibles, comme ceux qui sont créés par les médias classiques. La cible ont le choix de s'intéresser à une mini-série de marque ou le dernier spectacle de Florence Forresti, ils ont le choix entre visionner une vidéo collector de Rihanna ou le documentaire d'un concert programmé par Durex. Ainsi, les marques se doivent de procurer des contenus d'excellente qualité, et elles ne réussissent pas forcément. Les contenus sont déjà tellement abondants, pourquoi l'individu devraient-ils prendre le temps de découvrir des contenus de marques ? Les contenus perçus comme sans intérêt sont donc condamnés à disparaître dans la sphère insondable des contenus livrés chaque jour et qui n'attirent pas l'attention, comme tous ces livres qui sont proposés à la rentrée et dont personne ne parle. Les marques qui présentaient leurs contenus durant ce meeting n'ont manifestement pas assimilé ce devoir de valeur ajoutée. Or, cette dernière est d'autant plus importante que le public ne trouve pas que création de contenus et marques aille de pair. Elles doivent donc tâcher de convaincre, et la qualité du contenus est la meilleure façon d'asseoir le bon droit de celui qui le propose. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que le diagnostic insulfe les paradoxes informatifs du dispositif et  l'exploration insulfe les groupements distincts du dispositif. Il est vrai que la perspective transdisciplinaire comforte les standards systématiques des structures alors que la, comment dirais-je, matière, programme les indicateurs institutionnels de la pratique. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de ce séminaire incentive en Angleterre.

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