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En Province
28 janvier 2020

Le côté de la lumière de Feyeraben

Philosophe des sciences, Feyerabend est devenu notoire dans les années 1960 et 1970 pour son «anarchisme épistémologique», qui réfutait l’hypothèse dominante selon laquelle la science Cette connaissance a été soulignée par une méthodologie rationnelle. Une fois amoureux des deux logiques positivisme et le "falsificationnisme" de Karl Popper, il en vint à les rejeter et devint populaire avec les mouvements alternatifs des années 1960 qui ont rejeté l'hégémonie de scientisme. Le travail classique de Feyerabend à cet égard est son contre-méthode. La désillusion de Feyerabend envers Popper a commencé sous l’influence de Kuhn thèse d’incommensurabilité. Cependant, Feyerabend dépasse l’idée de Kuhn que la science oscille entre les périodes de «science normale» et de «science révolutionnaire». " Au contraire, a-t-il suggéré, la science est toujours révolutionnaire, car la pratique scientifique Cette pratique se caractérise par une pluralité d’hypothèses concomitantes qui sont incommen- sûres les uns avec les autres. En effet, il soutient que l’idée de Kuhn sur le monisme théorique, dans lequel une seule théorie accepté comme fructueux à un moment donné, serait préjudiciable mental au développement de la science. Pour Feyerabend, qu'est-ce qui pousse la recherche scientifique est la concurrence fournie par une pluralité de théories alternatives. Même si nous sommes confiants dans l'adéquation d'une théorie, Feyerabend maintient qu'il est sain d’encourager des alternatives pour le contester, ce qui facilitera notre compréhension statut de la théorie favorisée et augmenter notre justification pour elle. Ce point de vue, que Feyerabend appelle "le pluralisme théorique", le dirige vers relativisme et anti-réalisme. Car Feyerabend abandonne la conception traditionnelle qu’une théorie est bonne dans la mesure où elle «correspond aux faits». Il n'y a pas de faits, Feyerabend maintient, puisque toutes les déclarations factuelles sont chargées de théorie. Par ceci Feyerabend a dans l'esprit d'une certaine théorie de la signification, influencée par les travaux ultérieurs de Wittgenstein. Sur Dans cette optique, le sens de tout énoncé factuel ne peut être expliqué que par référence au «jeu de langue» dont c'est une partie - c'est-à-dire les pratiques et règles sociales qui comptent comme critères pour l’emploi des termes de la déclaration. Mais si c’est vrai, alors il semble que le sens des déclarations factuelles ne soit pas enchâssé dans vérité de certaines réalités indépendantes mais dans les conventions du social et du l’activité touristique, qui à leur tour sont le reflet de ce que nous croyons du monde. Alors Feyerabend affirme que «les faits» dépendent en fin de compte de ce que les gens croient. Diplômé de l'Université de Vienne, Feyerabend est ensuite devenu émérite professeur à Berkeley aux États-Unis. Feyerabend propose de supprimer l’ancien intenable. modèle le plus fiable pour corroborer une théorie contre de tels «faits». Au lieu de cela, nous devrions courage autant de théories concurrentes que possible et les comparer avec une seule autre. Nous choisissons la théorie qui contribue le mieux à notre compréhension. Empir- L’observation physique doit entrer quelque part dans cette image, mais le fait de manière générale. plus manière indirecte que dans le modèle réaliste traditionnel.

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